Monday, April 28, 2008

Six crises qui bousculent l'ordre économique mondial

A quelle place l'Histoire situera-t-elle la crise globale - dont les symptômes sont à la fois financiers, monétaires, économiques, alimentaires, énergétiques et écologiques - que subit la planète depuis mi-2007 et qui s'est accélérée en ce premier semestre de l'année 2008 ? Quelle sera son amplitude sur l'échelle de Richter des tremblements de terre économiques et sociaux ? Plus forte que la grande dépression de 1929 ? Similaire à celle des années 1970 où, juste avant le premier choc pétrolier de 1973 et la récession du deuxième semestre 1974, des scientifiques, des industriels et des économistes, fondateurs du Club de Rome en 1968, appelaient dans le rapport Meadows (1972) à stopper la croissance, afin d'éviter l'épuisement des ressources de la planète d'ici à la fin du XXIe siècle ?

La prudence est de mise. Pour s'en convaincre, il suffit d'abord de relire le rapport du Conseil d'analyse économique (CAE) "Les crises financières", publié en 2004, et dont les trois auteurs, Robert Boyer, Mario Dehove et Dominique Plihon, rappellent à l'envi que "les crises financières rythment l'histoire du capitalisme", prenant souvent la forme de crises "jumelles" (bancaire et de change), voire multiples si les indices boursiers et l'activité économique s'effondrent. Ils soulignent aussi le caractère ancien de l'interdépendance des marchés. Qui plus est, expliquent-ils, les crises sont plus nombreuses depuis la disparition en 1971 des accords de Bretton-Woods, qui signèrent a la fin du système de change fixe instauré à la fin de la seconde guerre mondiale. Ensuite, insiste Pierre-Cyrille Hautcoeur, professeur associé à l'Ecole d'économie de Paris, "quand on essaie de quantifier l'ampleur d'une crise, il faut faire attention de distinguer les mécanismes à l'oeuvre et les ajustements qui se produiront in fine". Concernant l'atterrissage de la crise actuelle, en dépit des révisions à la baisse menées par le Fonds monétaire international (FMI) ou par l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la croissance mondiale afficherait une progression située entre 3,5 % et 4 %, et ce grâce aux moteurs chinois et indien, à condition qu'ils ne ralentissent pas trop eux aussi. "Nous n'affrontons donc pas pour le moment, reprend M. Hautcoeur, une crise économique radicale." Une opinion partagée par Philippe Chalmin, professeur à l'université Paris-Dauphine, spécialiste des matières premières : "Il est nécessaire de prendre du recul, de relativiser. L'intensité actuelle est forte, mais rappelez-vous la crise des années 1970 : nous avons tous annoncé alors l'avènement d'un nouvel ordre économique international. "

En revanche, la nature multiple de la crise actuelle interroge économistes et historiens, qui la qualifient volontiers d'exceptionnelle. Pas forcément pour les mêmes raisons d'ailleurs, mais exceptionnelle néanmoins. M. Chalmin confirme ainsi n'avoir jamais vu "une telle volatilité des marchés de change et de matières premières". "La référence habituelle à la crise de 1974 paraît tout à fait dépassée, constate-t-il. Le 2 janvier, le pétrole cote 100 dollars le baril - ce qui a été salué comme un record incroyable -, le 25 avril, il est déjà à 117,6 !" Pour Jean-Paul Betbèze, chef économiste du groupe Crédit agricole, même s'il y a eu l'éclatement de la bulle Internet en 2000, "nous affrontons la première grande crise du XXIe siècle". Selon lui, il ne s'agit pas du schéma classique d'une crise américaine (ou d'une autre région du globe), qui contamine ensuite telle ou telle partie de la planète. "Nous avons affaire à un schéma inédit, à savoir la conjonction de crises différenciées et interdépendantes. Aux Etats-Unis, c'est la crise d'un pays surendetté ; en Europe, c'est une crise d'une région dont les Etats membres n'ont toujours pas résolu leur gouvernance politique, les empêchant de mener une stratégie économique concertée ; et dans les pays émergents, nous assistons ou allons assister à une crise classique de surchauffe et de croissance."

Qui plus est, insiste M. Betbèze, "le jeu actuel entre tous les acteurs de ces crises est non coopératif. Ainsi, la chute du dollar n'arrange en rien les Européens, qui voient leurs exportations renchérir. Quant aux Chinois, ils se refusent à réévaluer leur devise, le yuan, ce qui permettrait aux pays occidentaux de regagner en compétitivité."

Pierre Bezbakh, maître de conférences à l'université Paris-Dauphine, dont une partie des travaux ont porté sur l'histoire des crises, confirme ce jeu d'interdépendance plus compliqué que jamais : "Les Etats du Sud ne sont plus en position de dominés, ils sont désormais intégrés dans la compétition mondiale. Quant aux ex-pays de l'Est, ils se sont eux aussi convertis aux règles du marché. Vous avez donc une multiplicité d'acteurs dont les intérêts sont loin d'être convergents." A l'instar de Patrick Artus, chef économiste de Natixis, et de Marie-Paule Virard, journaliste, qui ont publié à La Découverte en 2005 Le capitalisme est en train de s'autodétruire, M. Bezbakh pense que la crise actuelle signe "une rupture totale de société. Le capitalisme n'est plus en voie de développement, mais en voie d'achèvement. Les puissances occidentales ne peuvent plus faire payer à d'autres pays le coût de la crise, comme ils l'avaient fait en 1929 avec la baisse du prix des matières premières. Nous assistons à un processus d'autodestruction soit du système, soit de son fonctionnement". Et la crise actuelle en serait la signature la plus forte.

Marie-Béatrice Baudet
Article paru dans l'édition du 29.04.08.

Monday, April 28, 2003

Cinquième Soleil des Mayas

Après une période de transition 1987-2012 (destruction de l'environnement, chaos social, guerres, bouleversements planétaires), les Gardiens du Temps Mayas considèrent le 21 décembre 2012 (solstice d'hiver) comme la date de la renaissance, le début du Monde du Cinquième Soleil.

Puis viendra le Changement d'Âge, le temps de la Grande Transition vers ce que les Mayas appelaient "l'Âge Itza", l'âge de Lumière et de Sagesse qui aportera la conscience de la multidimensionnalité (5ème dimension). Ce sera le démarrage d'une nouvelle Ère résultant du réalignement de l’axe polaire avec le centre de notre galaxie.

Détail du calendrier Maya montrant le cinquième dieu du soleil Toniatiuh entouré des représentations des quatre cycles de création et de destruction précédentes (Cancun, Mexique).

Le calendrier Maya sur la Pierre du Soleil (les 8 cercles)


Les Aztèques considéraient que plusieurs Soleils (ères) avaient existé auparavant. Il y avait eu le Soleil de terre suivi de ceux du vent, du feu et de l'eau. Tous périrent dans un cataclysme.

2012 et les Mayas


Le "Point Zéro" 2012

Au lever du Soleil du 21 décembre 2012 et pour la première fois depuis 26.000 ans, le Soleil se lèvera pour se joindre à l'intersection de la Voie lactée et du plan écliptique. Cette croix cosmique est considérée comme une incarnation de l'Arbre Sacré, l'Arbre de la Vie, un arbre reconnu dans toutes les traditions spirituelles du monde.

Un groupe d'astrophysiciens a récemment mis en évidence que la Terre était en ce moment même en train d'achever sa révolution autour du Soleil central de notre galaxie, qui dure elle aussi 26.000 ans. Ils ont associé à cette fin de cycle un phénomène générateur de perturbations électromagnétiques et cosmo-telluriques gigantesques qu'ils ont identifié sous le nom "d'effet de tressaillement" (wobble effect).

A l'approche du "Point Zéro" du champ magnétique (fin 2012), on constatera un ralentissement progressif du rythme des rotations de la Terre. Au passage du Point Zéro, 24 heures d'avant 1980 correspondront alors à 0 heures effectives. Autrement dit, le temps terrestre, le temps de troisième dimension n'existera plus !
La Terre s'immobilisera et au bout de deux ou trois jours, elle commencera à tourner dans l'autre sens. Tout laisse supposer qu'après le franchissement du Point Zéro, le Soleil se lèvera à l'ouest et se couchera à l'est.

Point Zéro 2012


Chez les indiens Hopis d’Amérique du Nord, l’une des grandes prédictions dit ceci: "Un jour certaines étoiles viendront ensemble en une seule rangée, comme cela s’est déjà produit il y a des milliers d’années. C’est le temps de purification pour la Terre. Des changements de climat et de nombreuses catastrophes peuvent se produire quand nous parviendrons à ce stade. Ce qui peut se produire alors personne ne peut le savoir réellement". Des "étoiles en une seule rangée" ? Voilà un élément qui évoque l’alignement de toutes les planètes prévu le 21 décembre 2012. D’après cette prophétie, outre d’immenses dégâts et pertes en vies humaines, ce serait le début d’une nouvelle ère glaciaire.

Les prophéties des Mayas sont en gros identiques à celles des Hopis. Elles indiquent que nous sommes parvenus à la fin d’un dernier cycle d’existence pour nos civilisations. Les dates données de ce cycle correspondent pour le début au 12 août 3114 avant J. C. et au 21 décembre 2012 pour la fin. A ce moment-là notre planète est censée enregistrer de très violents séismes terriblement dévastateurs.

Messages de la tradition maya


Dans l’Ancien Testament de la Bible, les chapitres 11 et 12 du Livre de Daniel nous précisent qu'il y aura donc 3 années et demi d’épreuves terribles pour l’ensemble de l’humanité (1290 jours), suivies de 1 mois et demi de bouleversements planétaires (45 jours supplémentaires) avant la fin des jours, soit à compter du 25 mars 2009.


L'année 2012

20 mai - Éclipse annulaire du Soleil
6 juin - Second et dernier transit de Vénus du siècle.
13 novembre - Éclipse totale de Soleil (visible dans le nord de l'Australie et dans le Pacifique sud
21 décembre - Fin du grand cycle 13-baktun dans le calendrier maya (13 baktuns = 13 cycles de 144 000 jours: 1 872 000 jours soit plus de 5125 ans).

"Le Plan divin veut que tout le monde soit évacué. (...) Il y aurait 3 vagues d’Ascension avant décembre 2012, date de l’évacuation complète de la planète Terre. (...) Retenez simplement ceci : avant 2012 : les contractions, les grandes catastrophes."


La Grande Transformation : Cinquième soleil, cinquième dimension, cinquième élément

Vers 2013, nous entrerons dans la Cinquième Dimension (après le saut dans la quatrième dimension, au Point Zéro).
Ces changements de dimension et de fréquence vibratoire ont été programmés et planifiés depuis longtemps.
Les fréquences du temps vont changer également. Elles pourront tantôt s'accélérer tantôt ralentir, ce qui sera une source supplémentaire de désarroi. Ce sera comme si tous les instruments qui vous servent habituellement à mesurer le temps que vous consacrez à vos différentes activités ne fonctionnaient plus. Ce sera pour l'humanité une source de grandes difficultés.
L'accélération vibratoire de la Terre liée à la Résonance Schumann se traduit par la perte progressive de densité de notre planète.
La Terre et ses habitants devraient passer à travers la ceinture de photons en 2012 et accéder ainsi à la quatrième dimension pour une durée de 3 ans. Durant cette période, ce qui est décrit dans l'Apocalypse devrait se dérouler afin de séparer les êtres moins "évolués" des êtres plus "évolués". Quand nous accèderons à la cinquième dimension, des changements énormes se produiront: corps éthériques, télépathie, voyage à la vitesse de la pensée, etc.

Lorsque les 12 spirales de l'ADN à segmentation variable (2 actifs sur les 12 à l'origine) seront réactivées, ces spirales commenceront à se connecter sur le système des 12 centres énergétiques de l’homme nommés chakras (7 internes et 5 externes) en correspondance avec les 12 luminaires et planètes de notre système solaire, si l’on y inclut Nibiru (qui signifie "planète de passage"), la dixième planète (planète X).


Alors que les quatre éléments traditionnels : la Terre, l'Air, le Feu, et l'Eau ont dominé les diverses époques du passé, il y aura un Cinquième Elément à prendre en compte lors de la période du Cinquième Soleil : l'éther. L'éther est un médium. Il pénètre tout espace et transmet des ondes d'énergie d'un vaste registre de fréquences. Ce qui est "éthéré" est en relation avec les régions au delà de la terre : les Cieux.


Les calendriers Mayas

Les Mayas comprennent les 17 calendriers différents, dont certains décrivent les événement temporels de façon précise pendant plus de 10 millions d'années.

Le Tzolk'in (calendrier divin des Mayas) basé sur le cycle des Pléïades retient particulièrement l'attention depuis 1987. Le cycle de 260 jours composé de deux rythmes 13-20, épouse les rythmes de la galaxie.

Le 21 décembre 2012 marquera la fin du grand cycle 13-baktun dans le calendrier Maya (13 baktuns = 13 cycles de 144 000 jours: 1 872 000 jours soit plus de 5125 ans).

La date de 13.0.0.0.0 donne une idée de la date Maya de la création du monde : 6 Sep 3114 BC (Julien) = 11 Aug 3114 BC (Grégorien). Le Compte Long 13.0.0.0.0 devrait de nouveau être atteint le 21 décembre 2012 AD qui n'est pas si loin dans le futur.

La civilisation maya et le calendrier maya
Le calendrier maya
Introduction au calendrier maya